LES VRAIES MOTOS KOEHLER-ESCOFFIER

Quelles sont les “vraies” motos Kœhler-Escoffier... et les autres ? La réponse est certes un peu arbitraire, car elle vise à distinguer les “vraies”, étudiées dans le présent ouvrage, des modèles qui ne sont que des Monet-Goyon porteuses d’autres décalcomanies. ...

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Référence 2F_0108

Disponibilité : OUI

189,99 €

Fiche technique

EAN13 9782913280014
Editeur E/B/S
Langue Français
Auteur(s) Bernard Salvat
Date de parution Février 2022
Nombre de pages 320
Format 26 x 30
Couverture Relié
Photos 911 photos et documents (NB et couleurs)

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Quelles sont les “vraies” motos Kœhler-Escoffier... et les autres ? La réponse est certes un peu arbitraire, car elle vise à distinguer les “vraies”, étudiées dans le présent ouvrage, des modèles qui ne sont que des Monet-Goyon porteuses d’autres décalcomanies. Sont de “vraies” Kœhler-Escoffier toutes celles nées avant 1930, date du rachat effectif de la marque lyonnaise par le constructeur mâconnais Monet-Goyon. Elles sont signées Marcel Kœhler et Jules Escoffier, puis, à partir de 1922, Raymond Guiguet. Au delà de 1930, nous considérons que sont toujours de “vraies” Kœhler-Escoffier les modèles qui ont été conçus et concrétisés par Guiguet et ses équipes du bureau d’études et du service des courses. Ce sont : - ceux à moteur et boîte Rudge, en 350 ou 500 cm3 ; - ceux des gammes L et KL, avec moteur quatre temps à cylindre incliné ; - les 250, 350 et 500 à ACT de course avec cylindre vertical ; - le prototype militaire à moteur 1000 cm3 bicylindre en V et boîte 8 vitesses ; - enfin le prototype, qui a survécu, d’un moteur de course 350 bicylindre en V à arbres à cames en tête et compresseur. Tout arbitraire qu’elle soit, notre définition des “vraies” Kœhler-Escoffier n’en est pas moins basée sur un solide argument : celui de l’identité de leurs concepteurs

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